Le texte est ici mais le corps du texte est ailleurs et ne se laisse jamais atteindre. ( Cl Louis Combet )
en barque dans les trépidations du film où gît le mort,
encrypté avec ses boîtes de temps et ses bobines à ombres,
et ses dames regardant du haut de la montagne,
accélérées au point déclive toujours,
quand le plan s’effrite,
qu’il rouille au bout des doigts d’une vieillesse inconsolable
Michèle Dujardin
encrypté avec ses boîtes de temps et ses bobines à ombres,
et ses dames regardant du haut de la montagne,
accélérées au point déclive toujours,
quand le plan s’effrite,
qu’il rouille au bout des doigts d’une vieillesse inconsolable
Michèle Dujardin
.... la suite, tout aussi belle est à lire sur le site d'Abadon ( cliquer sur le titre )
je vous recommande d'autres lectures du site Abadon, qui est par ailleurs référence en favoris dans mon autre blog ( poétique) http://re-ecrit.blogspot.com
RépondreSupprimer... et moi je suis aussi très heureuse de lire en exergue du Claude Louis-Combet...
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